Voici l’action qui vient de prendre 60 % et que nous avions étudiée

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Par Charles Sannat Modifié le 16 janvier 2019 à 10h00
Actionnaires Dividendes Deuxieme Trimestre 1
100%Si la valeur Balyo vient de prendre 100%, elle peut aussi perdre 100%.

Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

Mes chers et fidèles lecteurs.

Imaginez que nous vous parlions d’une action en décembre et qu’elle prenne tout de suite après presque 100 % par rapport à son point bas.

Eh bien c’est exactement ce qu’il s’est passé pour notre lettre confidentielle de La Robolution consacrée à une valeur française, une petite pépite à laquelle nous avions consacré avec Sylvain Devaux notre lettre du mois de décembre 2019.

Pourquoi avions-nous parlé de cette valeur, française, éligible à vos PEA et donc (presque) à défiscaliser ?

Pour plusieurs raisons.

La première, pour vous permettre de transformer cette révolution robotique, qui sera pour beaucoup synonyme de catastrophe personnelle et de perte d’emploi, en opportunité patrimoniale.

La seconde, parce que cette valeur est française, que c’est l’une des pépites nationales et qu’elle rentre dans le cadre du PEA, ce qui est suffisamment rare pour être souligné.

La troisième raison est la plus importante. Nous avons voulu, à travers cet exemple et l’analyse de la valeur Balyo, remettre la complexité de l’appréciation du risque au cœur de notre approche intellectuelle.

Et voilà, ça y est, je viens de vous lâcher le nom de cette valeur secrète et habituellement réservée uniquement aux abonnés de la lettre confidentielle de La Robolution.

La complexité du choix d’un investissement !

En réalité, la valeur ajoutée de notre lettre confidentielle de La Robolution ne se situe pas tant dans le nom de la valeur étudiée que dans l’analyse elle-même.

Si la valeur Balyo vient de prendre 100 %, ne nous y trompons pas : elle peut aussi perdre 100 %.

Le véritable sujet c’est de comprendre et de savoir pourquoi !

Pourquoi cette valeur peut avoir cette volatilité ? Pourquoi cette valeur a, plus qu’une autre, du potentiel ? Pourquoi elle est un pari et qui parie aussi dessus ?

Qui est investisseur sur cette entreprise ?

Quel est son potentiel d’appréciation ?

Quel est son modèle économique ?

Quelles sont ses fragilités ?

Quels sont les risques qui pèsent sur son avenir et donc sur l’épargne que vous consacrerez à l’achat d’une telle valeur ?

Le nom de la valeur n’a pas franchement de valeur ! La valeur réside dans les réponses à ces questions et beaucoup d’autres encore. Des questions auxquelles nous apportons, avec Sylvain, des réponses précises et qui permettent à chaque abonné non pas d’avoir des certitudes absolues, mais de comprendre et mieux cerner les mécanismes à l’œuvre autour de telle ou telle valeur.

Cela permet de mieux cerner les risques et de mieux apprécier la pertinence d’un placement ou pas.

Si vous ne comprenez pas un investissement, n’investissez pas !

Warren Buffett, qui est l’un des plus illustres investisseurs boursiers encore vivants, disait, à l’époque de la bulle Internet lors de laquelle il n’a rien gagné, mais n’a rien perdu non plus, que quand il ne comprenait pas le métier d’une entreprise, il n’investit pas !

Cela peut sembler du bon sens.

Pourtant, ce « bon sens » se perd vite dans les méandres de l’appât du gain et du lucre.

Prenez l’exemple du Bitcoin et des cryptomonnaies. En dehors même de savoir si c’est une bonne idée que d’en acheter ou pas, combien de personne qui achètent des Bitcoins sont capables de vous expliquer clairement ce qu’est ce machin ?

Presque personne. Pourquoi ? Parce que les gens achètent un rendement ou une promesse de richesse, ils n’investissent pas en comprenant intrinsèquement ce qu’ils achètent, pourquoi ils l’achètent et quels sont les risques précis qui vont avec leur achat.

C’est la certitude de lendemains rarement heureux pour ses placements lorsque l’on ne tourne pas 7 fois ses billets dans son porte-monnaie avant de les lâcher.

C’est un phénomène identique qui se joue avec ce que l’on appelle « l’aversion aux impôts ». Proposez à un épargnant de ne pas payer d’impôts, ou en tout cas beaucoup moins, grâce à l’achat de cet appartement sur plan, en Pinel, situé à Montauban, alors que l’épargnant habite Paris et n’a jamais mis les pieds… à Montauban, ou pire, à Pau. C’est encore plus loin Pau !!

Dans ce cas, le pauvre type achète un appartement qui n’existe pas encore et n’a pas été construit, dans une ville qu’il ne connaît pas, dans un quartier qu’il est incapable d’apprécier de même que la demande locative réelle, sans oublier qu’il ne connaît personne dans cette ville et n’y a aucun centre d’intérêt.

Bref, un investissement pas ou mal compris, réalisé pour de mauvaises raisons, sans disposer d’un maximum d’informations et d’analyses pour apprécier la réalité du risque avec un minimum de finesse.

Comment profiter des valeurs de la robolution ?

La réponse est simple et complexe, comme souvent. Simple, parce qu’il suffit de travailler ! Complexe, parce qu’il va falloir beaucoup travailler, et c’est ce travail que nous partageons avec vous.

Lorsque je vous dis qu’il faut travailler, c’est la stricte vérité. Il n’y a rien sans rien. Le président actuel, avec son sens de la diplomatie, vous vanterait le sens de l’effort. Cela dit, nous savons tous qu’il a raison, et il est d’ailleurs assez vertueux que l’effort soit récompensé. C’est le moment choisi et le contexte pour en parler qui posent problème.

Si nous appliquons cette idée de sens de l’effort à l’épargne, l’expérience montre que les épargnants ne veulent pas « travailler » pour prendre leurs propres décisions pour placer leur argent. Ils s’en remettent à des « professionnels », qui sont généralement des « vendeurs » de produits. Ils font « confiance » aux « plaquettes » et aux simulations qu’on leur propose. Pensez donc, « je ne suis pas capable », je « n’y connais rien ». « Laissons faire les professionnels ».

L’intérêt du vendeur étant rarement compatible avec l’intérêt de l’acheteur, il n’est pas étonnant que les résultats soient, à l’arrivée, au mieux décevants, au pire catastrophiques pour les épargnants.

Il faut donc, et c’est mon meilleur conseil, accepter de prendre le temps de se former pour comprendre la complexité de ces placements.
Pour profiter pleinement de la robolution qui a commencé, il nous faut tous beaucoup travailler, et c’est le sens de notre lettre confidentielle de La Robolution.

Lorsque nous avons sélectionné et analysé la valeur Balyo pour nos lecteurs, ce n’était pas un hasard. C’est une valeur à très haut potentiel, un potentiel aussi haut que les risques… de baisse et de volatilité. Pour savoir investir, il faut travailler. Beaucoup.

La lettre confidentielle de La Robolution est surtout un outil de formation qui vise à rendre autonomes nos lecteurs. Si je peux vous révéler le nom de Balyo, c’est parce que si vous achetez cette valeur sans savoir pourquoi, alors vous risquez d’être profondément déçus. Cette lettre n’est pas juste une lettre de conseil comme tant d’autres. C’est une lettre qui décrypte et vous permet d’apprendre pour pouvoir prendre vos propres décisions en toute indépendance. Pour en savoir plus, c’est ici!!

Je rappelle que tous les abonnés à la Lettre STRATÉGIES bénéficient d’une remise exceptionnelle de 50 % sur le tarif de la lettre confidentielle de La Robolution. Le code de réduction est disponible dans vos espaces lecteurs.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Article écrit par Charles Sannat pour Insolentiae

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Charles SANNAT est diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires et intègre la Direction de la Recherche Economique d'AuCoffre.com en 2011. Il rédige quotidiennement Insolentiae, son nouveau blog disponible à l'adresse http://insolentiae.com Il enseigne l'économie dans plusieurs écoles de commerce parisiennes et écrit régulièrement des articles sur l'actualité économique.

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