Face à la hausse des besoins de financement, le crédit à la consommation attire toujours plus de ménages. Entre projets personnels, achat de véhicule ou rachat de dettes existantes, Cetelem met en avant son simulateur en ligne permettant d’anticiper les futures mensualités et de comparer plusieurs scénarios avant de s’engager.
Crédit à la consommation : simulez vos mensualités avant de vous engager

Le crédit occupe une place centrale dans le quotidien financier des Français. Dans un contexte d’inflation persistante et de pouvoir d’achat contraint, les offres de prêt personnel et de crédit renouvelable gagnent en importance. Cetelem, acteur historique du secteur, propose aux particuliers d’évaluer gratuitement leurs futures échéances en quelques clics. L’objectif est double : favoriser la transparence et accompagner la décision d’emprunt, dans un marché marqué par des taux variables et par une réforme réglementaire majeure attendue en 2026.
Un marché du crédit en mutation réglementaire et économique
Le crédit à la consommation pèse près de 200 milliards d’euros en France, selon les données de la Banque de France publiées en septembre 2025. Dans ce marché, le prêt personnel et le crédit renouvelable restent des produits de référence, à l’image des crédits à la consommation de Cetelem. Cependant, le législateur veut renforcer la protection des emprunteurs. Une ordonnance du 3 septembre 2025 prévoit que, dès 2026, les micro-crédits et paiements fractionnés seront intégrés dans le champ du crédit classique, avec des règles plus strictes d’évaluation de la solvabilité.
Comme l’indique le ministère de l’Économie, l’objectif est de limiter le surendettement et d’harmoniser les conditions d’octroi. Ces nouvelles règles protégeront les emprunteurs en 2026 en imposant une meilleure information sur le coût total et sur les alternatives existantes. Ces évolutions interviennent alors que le crédit reste un outil incontournable pour financer des projets à court et moyen terme, mais aussi un vecteur potentiel de fragilité économique pour les ménages les plus précaires.
Cetelem, un acteur historique du prêt personnel et du rachat de crédits
Cetelem, filiale de BNP Paribas, est aujourd’hui l’un des leaders du crédit à la consommation en France. L’enseigne met en avant des offres de prêt allant de 500 € à 75 000 €, avec une durée de remboursement comprise entre 6 et 84 mois. Cette amplitude permet d’adresser des besoins variés : financement d’un véhicule neuf ou d’occasion, travaux dans le logement, frais d’études, ou encore regroupement de plusieurs dettes existantes.
Le simulateur de crédit mis à disposition sur le site de Cetelem permet de calculer rapidement le montant des mensualités en fonction du capital souhaité et de la durée choisie. L’outil affiche également le Taux Annuel Effectif Global (TAEG), permettant à l’emprunteur de comparer les scénarios. Par exemple, pour un prêt de 10 000 € sur 48 mois, le site propose une estimation chiffrée incluant intérêts et assurance facultative. Cette transparence répond à la demande croissante d’information claire sur le coût réel d’un crédit, comme l’exige désormais le Code de la consommation.
L’évolution récente des taux de crédit à la consommation
Les taux de crédit évoluent en fonction de la politique monétaire et de la concurrence entre établissements. Selon le baromètre Empruntis publié le 5 septembre 2025, les meilleurs taux démarrent à 4,30 % pour un prêt sur 12 mois et atteignent en moyenne 6,20 % pour un crédit sur 72 mois. Ces chiffres confirment que la durée d’emprunt reste un facteur déterminant : plus le remboursement est étalé, plus le coût global augmente.
De son côté, Cetelem met en avant des offres alignées avec ces tendances. Le prêt personnel affiché en septembre 2025 propose, selon la durée choisie, un TAEG fixe compris entre 4,5 % et 7,5 %. Les écarts reflètent à la fois le niveau de risque estimé et la flexibilité recherchée par les clients. Comme le rappelle Service-public.fr, la réforme de 2026 imposera aux prêteurs « d’offrir des solutions adaptées en cas de difficulté de remboursement », ce qui pourrait inciter les organismes à ajuster encore leurs pratiques tarifaires.