Brocante : pensez à chiner en ligne

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Par Jean-Baptiste Giraud Modifié le 22 mai 2020 à 14h45
Brocante Chiner En Ligne Coronavirus
@pexels - © Economie Matin
10Les rassemblements de plus de 10 personnes sont interdits sur la voie publique ou dans les lieux publics.

Traditionnellement aux mois de mai, juin, juillet se tiennent un peu partout en France des brocantes. Mais évidemment, même si le déconfinement est entamé, l’interdiction de rassemblements de plus de 10 personnes est toujours en vigueur, et frappe donc de fait d’interdiction les brocantes en plein air.

Revendre ses objets en ligne

Pourtant, vous avez peut-être des choses encombrantes ou dont vous n’avez plus l’usage que vous voudriez évacuer contre quelques poignées d’euros. Et la table de salle à manger dont vous avez besoin, plutôt que de l’acheter dans un magasin, vous pourriez reprendre celle d’un voisin.

Heureusement, il y a Internet. Je vous dis heureusement, parce que j’ai remarqué autour de moi que beaucoup avaient le réflexe internet pour acheter un livre dont un enfant à besoin, ou une fringue, des chaussures. En revanche, rares sont ceux qui pensent à chiner sur Internet, ou à y revendre des objets inutiles.

Le nombre d'annonces en hausse

Sachez qu’en ce moment, sur le Bon Coin, Ebay, et Facebook Marketplace, c’est tout simplement la folie. Le nombre d’annonces est démultiplié puisque forcément, pendant des semaines, plein de choses étaient impossibles à vendre, faute de pouvoir se déplacer pour les récupérer.

Mieux encore : sur ces trois sites, vous pouvez filtrer vos recherches en fonction de votre localisation. Vous pouvez choisir de n’afficher que les annonces dans un rayon de 10, 20, 30, 50 ou 100 kilomètres autour de vous. Pour plein de choses, un rayon de quelques kilomètres suffit largement à trouver son bonheur.

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Jean-Baptiste Giraud est le fondateur et directeur de la rédaction d'Economie Matin.  Jean-Baptiste Giraud a commencé sa carrière comme journaliste reporter à Radio France, puis a passé neuf ans à BFM comme reporter, matinalier, chroniqueur et intervieweur. En parallèle, il était également journaliste pour TF1, où il réalisait des reportages et des programmes courts diffusés en prime-time.  En 2004, il fonde Economie Matin, qui devient le premier hebdomadaire économique français. Celui-ci atteint une diffusion de 600.000 exemplaires (OJD) en juin 2006. Un fonds economique espagnol prendra le contrôle de l'hebdomadaire en 2007. Après avoir créé dans la foulée plusieurs entreprises (Versailles Events, Versailles+, Les Editions Digitales), Jean-Baptiste Giraud a participé en 2010/2011 au lancement du pure player Atlantico, dont il est resté rédacteur en chef pendant un an. En 2012, soliicité par un investisseur pour créer un pure-player économique,  il décide de relancer EconomieMatin sur Internet  avec les investisseurs historiques du premier tour de Economie Matin, version papier.  Éditorialiste économique sur Sud Radio de 2016 à 2018, Il a également présenté le « Mag de l’Eco » sur RTL de 2016 à 2019, et « Questions au saut du lit » toujours sur RTL, jusqu’en septembre 2021.  Jean-Baptiste Giraud est également l'auteur de nombreux ouvrages, dont « Dernière crise avant l’Apocalypse », paru chez Ring en 2021, mais aussi de "Combien ça coute, combien ça rapporte" (Eyrolles), "Les grands esprits ont toujours tort", "Pourquoi les rayures ont-elles des zèbres", "Pourquoi les bois ont-ils des cerfs", "Histoires bêtes" (Editions du Moment) ou encore du " Guide des bécébranchés" (L'Archipel).