Changer d’air, mais à quel taux ?

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Par Denis Leroy Modifié le 21 juin 2012 à 17h35

Les grandes vacances approchent. Les plus prévoyants ont déjà leur feuille de route toute tracée, les opportunistes attendront la veille. Dans les deux cas, toutes les dépenses majeures liées aux congés estivaux peuvent être prévues et payées en avance. Toutes, sauf une : les dépenses locales...

Quand l’on sait que cette année 40% des Français, soit 26,2 millions, comptent partir en vacances en juillet et août, et parmi eux 22% partiront à l’étranger, avec un budget de 3 500 euros, la problématique est loin d’être anodine. Quelles soient mineures (souvenirs, restaurants, etc.) ou plus conséquentes (excursions, transferts), le simple fait de ne pouvoir régler ces dépenses à l’avance peut venir grever significativement un budget vacances. Au final, la facture augmente.

Sur le banc des accusés : le taux de change. Vous pourrez toujours négocier votre plat de tajine pour quelques dinars de moins, économiser quelques lires turques sur un tapis, mais le taux de change qu'appliquera votre banque à votre transaction convertie en devise locale lui, n’aura pas cette même chance.

Avant la seule solution proposée consistait à commander plusieurs semaines à l’avance ses devises dans un établissement bancaire. Aujourd’hui, les moyens modernes offrent des solutions plus simples et plus rapides. Egalement plus pratiques, elles évitent d’avoir des liasses de billets réparties entre le portefeuille, la valise et le sac à dos.

Parmi ses solutions, Travelex a mis en place une carte prépayée, CashPassport, qui permet de mieux contrôler ces fameux taux de change. Muni d’une pièce d’identité, il suffit de se rendre en agence de change et charger le budget voyage désiré en livres sterling, dollars américains, canadiens ou en euros sur cette carte. Plus rapide encore, elle peut être commandée sur travelex.fr avant d’être collectée en agence avec les documents nécessaires.

Une fois à l’étranger, elle est utilisable chez 32 millions de commerçants et distributeurs de billets. Pratique pour régler une note de restaurant à Toronto, les tickets pour la prochaine comédie musicale sur Soho ou la chambre d’hôtel avec vue sur Central Park, sans frais de commission ni de banque.

Au-delà des solutions dites matérielles, des réflexes simples permettent également de bien gérer son budget. Par exemple, ne pas changer son argent à l’hôtel, où les taux sont souvent plus forts, ou encore éviter les monnaies intermédiaires comme le dollar. Il est également déconseillé de changer trop d’argent pour éviter le surplus de devises au retour. Ces petits gestes qui rendent la vie plus simple seront une source d’économies pour, pourquoi pas, s’offrir un dernier bon repas avant le retour à la maison !

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Denis Leroy a 49 ans, il est diplômé de l’Ecole Centrale de Nantes et de L’Ecole Nationale Supérieure du Pétrole et des Moteurs. Il a fait une longue carrière internationale au sein du réseau du Groupe Shell qui s’est achevée au Maroc en tant que Directeur pour l’Afrique du Nord. Il a rejoint Travelex en 2007 en tant que Directeur Général pour la France et l’Italie.

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