Pire que le chômage, il y a l’emploi que l’on déteste

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Par Laure De Charette Publié le 15 novembre 2016 à 11h30
Empoi Travail Augmentation Amelioration Taux T2 2016
@shutter - © Economie Matin
60%60 % des Français disent ne pas aimer leur travail.

Selon plusieurs sondages, environ 60 % des Français disent ne pas aimer leur travail. Parmi eux, certains détestent carrément leur job, et y sont profondément malheureux.

J'aime (pas) ma boîte

Des conditions difficiles, une quantité de travail trop faible ou trop importante, un chef pervers, des collègues jaloux, les raisons de la détestation peuvent être nombreuses.

Toujours est-il que d'après une étude menée par Stephan Bevan, directeur du Centre pour l'efficacité des travailleurs et professeur de l'Université de Lancaster (Royaume-Uni), sur le plan du bien-être, en dehors de toute considération financière donc, être sans emploi vaudrait mieux que d'exercer un boulot que l'on n'aime pas.

Un impact sur la santé mentale

Comme l’explique un article paru dans Biba Magazine, d’après lui, « être au chômage a un impact (très) négatif sur la santé, les relations sociales, l'estime de soi, la dignité, sans parler de l'impact financier désastreux que cette situation entraine ».

Mais ceux qui occupent un poste qu'ils n'apprécient pas auraient une santé mentale en pire état !

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Journaliste depuis 2005, Laure de Charette a d'abord travaillé cinq ans au service France du quotidien 20 Minutes à Paris, tout en écrivant pour Economie Matin, déjà. Elle est ensuite partie vivre à Singapour en 2010, où elle était notamment correspondante du Nouvel Economiste et où elle couvrait l'actualité politique, économique, sociale -et même touristique !- de l'Asie. Depuis mi-2014, elle vit et travaille à Bratislava, en Slovaquie, d'où elle couvre l'actualité autrichienne et slovaque pour Ouest France et La Libre Belgique. Elle est aussi l'auteur de plusieurs livres, dont "Chine-Les nouveaux milliardaires rouges" (février 2013, Ed. L'Archipel) et "Gotha City-Enquête sur le pouvoir discret des aristos" (2010, Ed. du Moment). Elle a, à nouveau, rejoint l'équipe d'Economie Matin en 2012.

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