Et le labyrinthe technocratique et bureaucratique s’étend…

En effet, établir un dispositif d’aide financière pour les PME et les TPE… à l’exclusion de celles qui appartiennent à un groupe, c’est empêcher le plus grand nombre de ces entreprises d’en bénéficier ! C'est aussi permettre toutes les interprétations à propos des adossements de milliers de structures qui ont dû se rapprocher d’entreprises ou de groupes disposant de fonds propres. C’est transformer une annonce généreuse en labyrinthe technocratique et bureaucratique.

C’est dire que les mesures d’aides ou de subventions butent toujours sur les critères et leurs interprétations ce qui les fait dériver plus sur les effets d’aubaines que sur les véritables cibles souhaitées. Les PME qui demandent des aides ne sont pas toujours celles dont l’avenir et les difficultés les justifient !

Enfin, l’État interventionniste continue de sévir :

En projet, la limitation « des grosses promotions » qu’ils s’agisse de produits alimentaires ou d’hygiènes et d’entretien dans la grande distribution. Au moment où notre gouvernement continue les chèques cadeaux, en participant à l’achat des galettes à travers les boulangers, il refuse en revanche les promotions faites par les grandes surfaces destinées aux consommateurs qui en ont bien besoin ! Mercredi 11 janvier 2023, l’Assemblée va discuter d’interdire les promotions sous l’excellent prétexte d’éviter les faillites des « chaînes d’approvisionnement ».

« De quoi se mêle-t-on ? Tout cela au moment où l’Etat fait des chèques pour aider les particuliers, on veut interdire au prix de baisser en pleine inflation » : déclare Sophie de Menthon. « Une politique de Gribouille ? »