Héraclide, un nouveau concept de résidences senior abordables, installées au cœur de nos régions

L'enjeu de la prise en charge des seniors : entre dépendance et moyens limités

La prise en charge des seniors, notamment ceux du 3e et 4e âge, est un enjeu crucial de notre société. Avec le vieillissement de la population, la question de la dépendance se pose de manière accrue. Mais au-delà des enjeux de santé, le problème financier reste prépondérant. Une large partie des retraités français dispose d'une petite pension, ne leur permettant pas d'envisager un hébergement en maison de retraite. Le coût moyen oscille entre 2 500 euros et peut aller jusqu'à 4 000 euros, voire plus, pour certains établissements. Face à ces tarifs, bon nombre de seniors se trouvent dans l'incapacité de financer un logement adapté à leurs besoins.

Héraclide : Répondre à un réel besoin sociétal

« Héraclide, c'est un peu le Lidl de la maison de retraite », explique Jean-Luc Suarez. Avec des établissements de 7 à 20 logements nichés au cœur des petites villes, Héraclide va à contre-courant des vastes complexes habituels. « Le problème principal, c'est le coût », souligne Suarez. Pourtant, avec un tarif avoisinant les 1 150 euros mensuels, les résidences Héraclide s'avèrent être une alternative bien plus abordable pour de nombreux seniors.

La proximité : un gage de bien-être pour les résidents

L'une des principales forces de Héraclide est son implantation locale. « On ne fait pas du grand groupe. On est sur des structures de 7 à 20 logements. Pour moi, ce n'est pas une maison de retraite mais plutôt une résidence services », précise Suarez. Les résidents n'ont ainsi pas à quitter leur région, évitant de perturber leurs habitudes et leur permettant de rester proches de leurs racines et de leurs proches. « Les seniors qui viennent chez nous ont vécu toute leur vie dans leur région. On ne les déracine pas, ils gardent leurs repères. »

Un recrutement local pour un impact économique fort

Héraclide favorise aussi l'emploi local. Plutôt que de délocaliser ou de faire appel à des travailleurs éloignés, Héraclide mise sur des professionnels du secteur. « On arrive à trouver des gens. D'autant plus facilement que sur ces territoires, vous avez des associations d'aide à domicile », indique Jean-Luc. Cette approche garantit non seulement un service de qualité, mais booste également l'économie des petites villes où s'implantent les résidences.

Une vision à long terme pour un service durable

Face à l'exponentielle demande, notamment de la « silver économie », Héraclide envisage l'avenir avec ambition. « Aujourd'hui, on est plutôt sur une croissance à 15 résidences par an », déclare Suarez. Avec une démographie changeante et une population de seniors de plus en plus exigeante, la nécessité d'adaptation est constante. « Les locataires qu'on accueille ont 70, 72, 75 ans et ils sont beaucoup plus exigeants sur leur environnement et sur leurs choix », ajoute-t-il.

Héraclide, la passion au cœur du projet

Au-delà de la simple entreprise, Héraclide est le reflet d'une véritable passion pour Jean-Luc Suarez. « Je suis éducateur de formation, et j'ai toujours été préoccupé par ces questions », confie-t-il. « Ces préoccupations, je les connais depuis 30 ans. Malgré tout, la silver économie en France mute et propose des choses de plus en plus intéressantes. » Avec un investissement personnel et une véritable écoute des besoins de sa clientèle, Héraclide semble avoir trouvé la clé d'un modèle de résidence pour seniors à la fois viable économiquement et bénéfique socialement.

Héraclide redéfinit donc le concept de maison de retraite en mettant l'humain au centre de ses préoccupations. Grâce à une vision claire, une volonté de proximité et une réelle passion pour le bien-être des seniors, Jean-Luc Suarez et son entreprise apportent une réponse innovante et essentielle à un enjeu sociétal majeur, en proposant une offre économique, adaptée à la réalité du marché de la silver économie : deux retraités sur trois vont devoir vivre pendant des décennies avec souvent, moins de 1 500 euros par mois... Une somme qui déjà, ne leur permettait pas d'espérer aller en maison de retraite, et qui demain, ne suffira évidemment pas s'ils deviennent totalement dépendants. Mais c'est un autre dossier, brûlant, pour le gouvernement.