Cet été, partez l’esprit léger : et si on anticipait vraiment les sinistres sur la route des vacances ?

Pourtant, en appliquant quelques fondamentaux simples, on peut éviter bien des soucis — et surtout réagir efficacement en cas de pépin.

Peut-on partir avec une voiture de fonction ? La question paraît anodine, mais elle mérite d’être clarifiée. Oui, un collaborateur peut utiliser son véhicule de fonction pour ses vacances, si cela est prévu par la politique de l’entreprise. C’est là que tout se joue : il faut encadrer cet usage pour éviter les dérives et assurer une responsabilité claire. Et si le contrat ne le précise pas, mieux vaut prendre le temps d’en discuter avant le départ.

Les frais de carburant ? Qui paie quoi ? Là encore, tout dépend des règles internes. Mais pour éviter les conflits et faciliter le suivi des coûts, une communication transparente s’impose. On sait que les frais de carburants grimpent vite sur les longs trajets d’été — autant anticiper. Certaines entreprises précisent que les frais de carburant lors des congés et des week-ends sont à la charge des utilisateurs.

Peut-on partager le volant avec des tiers ? Oui, mais prudence : seul un conducteur déclaré et habilité peut prendre la route avec la voiture de fonction. L’assurance et la responsabilité en dépendent. Une bonne gestion de ces profils est indispensable pour éviter des déconvenues en cas de sinistre. Dans certains cas, les entreprises autorisent directement dans la Car Policy les conjoints, ascendants directs et enfants à utiliser le véhicule : là aussi, une bonne communication s’impose.

Et la responsabilité, alors ? Pendant les congés, le conducteur est évidemment responsable du véhicule. Mais les gestionnaires de flotte ne sont pas hors-jeu : ils doivent veiller à ce que les règles soient respectées et intervenir rapidement si besoin : par exemple, le gestionnaire peut constater une utilisation anormale de la carte carburant ou accompagner le conducteur dans ses changements de pneumatiques.

Avant le départ, un entretien spécifique est-il nécessaire ? Oui, c’est même un incontournable. Un contrôle technique basique – niveaux, pneus, feux – peut sauver la mise. Le pneu, par exemple, est un élément clé trop souvent négligé. Un mauvais état ou un mauvais choix (pneus hiver sur route sèche en été, par exemple) peut se révéler dangereux. Attention à ne pas trop tarder à prendre rendez-vous si besoin : les garages sont souvent surchargés lors des périodes estivales.

Que prévoir d’autre ? La trousse de secours, les équipements obligatoires, les documents en règle… autant de petites vérifications qui garantissent une sérénité maximale.

Mais alors, si malgré tout un sinistre survient, quels sont les bons réflexes ?

Sécuriser, constater, déclarer — ce triptyque doit être connu et appliqué immédiatement. C’est aussi là que l’expertise entre en jeu, pour évaluer les dommages et engager la prise en charge. Athlon accompagne les gestionnaires de flotte dans toutes ces étapes, avec des procédures claires, un suivi rigoureux, et surtout un service d’assistance efficace. En cas de panne ou d’accident, un véhicule de remplacement jusqu’à 72 heures est proposé pour éviter la rupture de mobilité.

C’est un vrai plus pour les entreprises qui souhaitent offrir à leurs collaborateurs la meilleure expérience possible, tout en maîtrisant les coûts et risques.

Alors, cet été, pourquoi ne pas préparer vos véhicules et vos conducteurs pour partir vraiment l’esprit léger ? Une bonne anticipation, des règles claires et un accompagnement adapté, c’est la recette pour transformer la gestion des sinistres en une simple formalité.

Chez Athlon, nous sommes convaincus que la prévention et la réactivité sont les clés d’une mobilité sereine. Et vous, prêts à relever le défi ?